Écriture

Voila comme j'ai plus trop de place sur mon site, qu'il y a déjà un topic poème ici et que donc ça choquera pas trop, et qu'en plus je vient de recommencer la 5° réécriture de Soeurs Jumelles et que cette fois ça m'a l'air bon pour la terminer et que... Heu... qu'est ce que je voulais dire déjà ?

Bon, voila pour vos grand yeux éblouit et attentif (oui oui, c'est ça, rêve toujours...) Soeurs Jumelles !!!

Prologue :

En 2040, plusieurs conflit majeurs éclatèrent un peu partout dans le monde... Pour l'Europe et l'Amérique, c'était le meilleur moment pour tester leur dernière invention : les Ra59, une bombe atomique encore plus puissante que celle inventée par Einstein... La guerre ne dura qu'un mois.
Un seul mois avait suffit pour raser de la carte la majeure partie du monde, un seul mois pour provoquer une montée brutale de la température et une catastrophe climatique sans précédent.
Que restait-il ? L'Amérique avait été la première détruite par la puissance Irakienne, l'Europe avait connu le même sort trois jour après. La Chine et le Japon qui avaient choisi de rester neutres furent anéantis par un raz de marée gigantesque à cause des Ra59 tout comme l'Afrique...

Pourtant un petit bout de terre avait survécu aux dégâts...

Chapitre 1

Si j’écris aujourd’hui, c’est pour casser le mythe qui m’entoure. Parce que je ne suis pas une guérière éprise de justice. Parce que je ne voulais jamais me battre. Parce que je n’ai rien fait de-moi même pour les autres...

Océane.
Ce nom vous dira peut-être quelque chose...
C’est le nom de ma jumelle. C’est pour elle que je vais écrire...

Parce que je ne veux pas que son nom soit oublié et que le mien reste encore dans vos mémoires. Parce que sans elle, tout le monde serait resté dans sa vie tranquille et sans histoire...

Pourquoi est-ce que je parle autant ? Je crois que j’ai peur. Peur de me lancer dans mes souvenirs et de revoir sous mes yeux les visages rieurs de ceux qui sont morts par ma faute...

Mais autant me lancer tout de suite. Je vais commencer par raconter mon enfance, pour présenter notre relation et puis je laisserais ma mémoire faire le reste...

Durant nos premières années, avant l’école primaire, nous n’avons jamais ressentit l’absence de notre mère et l’indifférence de notre père. Ce n’est que quand nous sommes allé chez nos amis pour les anniversaires que nous avons compris que quelque chose clochait chez nous.

Alors nous nous sommes replié sur nous-mêmes. Nous avons, petit à petit, perdu tout nos amis, comme c’est le cas quand on veut éviter les autres.
Nous n’avons jamais été seule et nous nous sommes toujours suffit à nous-même... Du moins, je crois que nous n’avons jamais vraiment souffert du fait d’être à l’écart des autres.


Cela à continué bien longtemps et nous aurions pu beaucoup en souffrir, si un jour, alors que nous cherchions la trace d’une image de notre mère dans le grenier, nous n’avions trouvé un livre.
Ce livre, nous n’aurions bien pu ne pas le trouver, simplment en ne regardant pas la caisse ou en nous faisant prendre pas notre père qui nous réprimandait toujours sévèrement, mais voilà, il était là, devant nous.
C’est Océane qui l’a emporté et qui l’a caché sous le lit pour le lire le soir, alors que notre père dormait...
Il était intirulé “les contes des frères Grimm” et c’était un de ces livres interdits par le gouvernement. Nous l’avons dévoré d’une traîte, en un soir et nous sommes alors passé dans le mensonge.

Cela a eut un grand impact sur nous : comment les adultes pouvaient-ils interdirent de si belles histoires ?
Notre mère prit alors une place plus importante dans notre vie. Nous nous étions imagé que c’était elle qui nous avait laissé ce livre pour nous faire signe et qu’elle nous attendait quelque part, ailleur, loin de ces adultes indifferents...
Elle prenait tour à tour l’apparence d’une fée, d’une reine, d’une vieille sorcière bénéfique... Je ne me souvien plus combien de fois, alors que notre père n’était pas là et que nous avions la maison à nous toutes seule nous avons joué à “la recherche de Maman”.
Ce qui est sur, c’est que ces jeux resteront à jamais gravé dans mon coeur comme les plus beaux instant de notre enfance.

Et puis nous avons grandi, et Maman n’est jamais apparue dans notre vie. Nous avions toujours le fol espour de la voir apparaître alors que nous descendions du bus pour rentrer chez nous et nous attendions toujours une minute avant de rentrer chez nous, avec l’espoir qu’elle iendrait demain...


Et la vie à continué, avec cette interminable attente, jusqu’à nos seize ans.
C’était en Juillet, pendant les vacances de Luner’, et nous étions en train de parler de notre père, avec, comme d’habitude, beaucoup d’ironie. Nous n’avns jamais aimé notre père et il nous le rendait bien. La seule chose qui nous a toujours permis de coexister, c’était l’indifférence et nous parlions toujours de lui avec un ironie cruelle, blessante, gratuite.

Et, tandis que nous en parlions, certaine d’être seule, alors qu’Océane en rajouter sur les propos que je veait de dire, mon père arrive derrière nous. Il entends ma jumelle et, evidemment, il se met dans une colère noire. Moi, peureuse, je me tais et j’attends que l’orage passe, mais ma soeur qui a toujours du courage pour deux s’entette et lui répond sur le même ton.
Le résultat fut horrible.
Le lendemain, Océane trouva ses affaires empaquetésur le pas de la porte et mon père en train de l’attendre en compagnie d’un chauffeur de taxi.

Elle fut, purement et simplement chasé de chez nous et mon père continua sa vie comme avant et moi, je restait, pauvre petite ombre piégée dans une lumière aveuglante, chez mon père...

Ce qui déclencha mon départ fut mon mariage arrangé et une lettre de ma soeur, trois ans après son départ...

J’accouru immédiatement au rendez-vous qu’elle me donna dans sa lettre.
Le 7 rue Norma. C’est mon adresse aujourd’hui.
Ce fut le 29 octobre 2179 ; à dix-sept heure trente à peu près que mon existence devint un peu moins sombre et moins ordinaire...

J'ai hâte d'avoir la suite sous les yeux...
C'est super, j'adore!!!!!!!

Ca me rappelle plusieurs autres oeuvres par moment. mais sinon bien écrit, bien que trivial par moments mais c'est normal.

Ben...

J'ai pas encore perdue les mauvaise habitudes de mon premier brouillon ^^'


En tout cas, je vous passe la suite dès que je peux.



et merci à tous !!!

pour vous faire patienter (et parceque je l'ai promis), voila le premier chapitre de l'histoire que je suis en train d'écrire:

CHAPITRE 1 – Le récit des Gardiens.

Icare. Ce nom, cette légende, connue de tous, est le seul souvenir que nous avons des événements qui faillirent mener les mondes a leur perte. La légende d’Icare que nous connaissons aujourd’hui n’est en fait que le seul souvenir qui témoigne de ce qui s’est passé à cette époque. C’est dans le monde d’Atlantide, il y a bien longtemps, que cette histoire commença...

Un matin comme les autres, dans le monde d’Atlantide. Alors que la cité d’Atlantis, la capitale de ce monde, était encore plongée dans un sommeil serein, les deux Gardiens se hâtaient vers le Temple. Les gardes du Grand Temple se crispèrent en voyant deux personnes courir vers eux, mais se détendirent lorsqu’ils reconnurent les Gardiens. Cependant, comme ils pénétraient dans le Temple sans même prendre le temps de s’arrêter pour les saluer, et sans être accompagnés par les Icariens, les gardes se rendirent compte que quelque chose n’allait pas. Les Gardiens se précipitèrent dans le Grand Temple, et se dirigèrent vers la salle principale, dans laquelle devaient être réunis les Sages.

-Tu es sûre qu’ils sont là ? demanda Tano.
-On n’est jamais sûrs de rien avec eux, lui répondit Lefa.
-Si ils savaient comment tu parles d’eux..., glissa Tano, un sourire sur les lèvres.
-Je me moque de ce qu’ils penseraient, il y a plus important en ce moment..., répliqua Lefa avec un air de défi.
-Tu crois vraiment qu’ils ne sont pas encore au courant de ce qu’il s’est passé là bas ?
-Même si ils connaissent les grandes lignes, ça m’étonnerait qu’ils soient au courant de tous les détails.

Les deux Gardiens parcoururent en silence les derniers couloirs en songeant aux derniers événements, et à ce qu’ils étaient venus annoncer aux Sages.

Ils firent alors irruption dans la salle principale, une salle immense, en forme de dôme, aux murs d’une blancheur immaculée. Au centre de la salle, se dressaient treize fauteuils, entièrement blancs, disposés en demi cercle. Dix de ces fauteuils étaient occupés par leurs propriétaires respectifs : dix des treize Sages, en train de discuter a voix basse. Les Sages étaient des êtres nettement plus grands que les Humains ou que les Atlantes, qui étaient eux même deux fois plus grand que les Gardiens. Les Sages étaient vêtus d’une immense tunique blanche, et leurs visages étaient en partie dissimulés par un capuchon. Lorsque les Gardiens pénétrèrent dans la salle, les Sages se tournèrent vers eux, l’air interrogateur. Le Sage assis dans le fauteuil du milieu se leva et demanda :
-Lefa, Tano, que faites vous ici ? Pourquoi êtes vous ici aussi tôt ?
Le Sage regarda la porte par laquelle était entré les Gardiens, comme si il s’attendait à voir entrer quelqu’un d’autre.
-Et pourquoi Leanna et Kyani ne sont pas avec vous ?
Lefa et Tano échangèrent un regard surpris : apparemment, ils n’étaient pas au courant.
Voyant que les Gardiens ne lui répondaient pas, le Sage d’Atlantide voulut reposer sa question, mais il fut interrompu par Lefa :
-Pardonnez nous notre insolence, Grand Sage, mais n’avez-vous pas senti ce qu’il s’est passé ?
Au même moment, deux Sages entrèrent en trombe dans la salle, en manquant de peu de renverser les Gardiens. L’un des Sages, le plus petit, s’assura que les Gardiens n’avaient rien, avant de rejoindre le second, qui les avait ignorés superbement, et s’était précipité vers les autres Sages.
-Sages, mes frères, un grand danger nous menace : nous sommes tous en péril ! Et pas seulement Atlantide : les treize mondes sont menacés.
-Toujours aussi bien renseigné le Sage de la Foudre... et toujours aussi impoli..., glissa Tano à Lefa.
Lefa approuva d’un sourire, mais resta silencieuse, attendant de voir la suite des événements.
Le Sage d’Atlantide tourna son regard vers Tano et Lefa.
-Etait-ce de cela que vous souhaitiez nous parler, Gardiens ?
-Précisément, Grand Sage, lui répondit Lefa.
-Et bien en ce cas, allez-y, nous vous écoutons.
A ce moment, le Sage de la Foudre allait reprendre la parole lorsque le Sage d’Atlantide lui dit :
-Il semblerait que Lefa et Tano soient au courant depuis plus longtemps que vous, Grand Sage. Je pense donc qu’ils auront plus de chose à nous apprendre que vous.
Le Sage de la Nature, celui qui était arrivé en même temps que le Sage de la Foudre, poursuivit :
-Il est vrai que, étant donné que je ne l’ai senti qu’il y a quelques minutes seulement, dit il en accentuant le "je", cela ne m’étonnerait pas qu’ils en saches plus que vous, continua-t-il en insistant sur le "vous".
-Je suis désolé de vous interrompre, Grands Sages, mais le temps presse, reprit Tano.
-Vous avez raison, allez-y, les encouragea le Sage d’Atlantide.
-Comme vous le savez tous, commença Lefa, les Icariens se sont aventurés avant-hier dans les plaines désertes, a la poursuite des Mages.

A ce mot, les Sages poussèrent quelques grognement de désapprobation : les Mages, ces renégats qui luttaient ouvertement contre les Sages et les Icariens, avaient été déclarés traîtres à la cité d’Atlantis, et prononcer leur nom avait été interdit, sous peine de bannissement de la ville. Cependant, Lefa savait que les Sages (du moins la plupart) ne lui reprocherait pas de prononcer ce mot dans la précipitation. En réalité, Lefa prenait un malin plaisir à les provoquer.

-Bien évidemment, poursuivit Lefa, nous les accompagnions, car tel est notre devoir, en tant que Gardiens. Alors que nous poursuivions les Mages, Kyani est tombé dans une embuscade. Leanna s’est opposée au fait que nous allions le secourir, ce qui paraissait parfaitement sensé au vu de la situation. Nous avons donc suivi les Mages, qui emportaient Kyani vers leur repaire, sans se douter que nous n’étions pas loin derrière eux. Lorsque nous avons atteint leur repaire, nous nous sommes introduits à l’intérieur, et nous avons essayé de trouver l’endroit où Kyani était retenu prisonnier. Malheureusement, il n’était plus prisonnier. En fait, il ne l’avait jamais été.
-Que voulez vous dire ? s’exclama le Sage du Feu. Il n’est quand même pas mort ?
Tano secoua la tête :
-Malheureusement non...
-Comment ça ? interrogea le Sage d’Atlantide.
-A l’intérieur du repaire des Mages, nous avons surpris une conversation entre Kyani, et un Mage, qui semblait être le chef de ce repaire. C’est alors que nous avons appris que Kyani... est un traître !

Merci !!!


Bon, c'est toujours aussi bien écrit...
Et tant que j'y suis, les derniers chapitre que tu m'as passé sont tout aussi géniaux !!!




Bon, y'aura pas de suite à quoi que ce soit ces jours-ci, parceque ma connexion internet re-bugue et que je travaille donc avec les ordinateurs du collège qui rament comme pas possible... Et le mien à la touche espace qui bugue en plus....

Océane a écrit:

Bon, c'est toujours aussi bien écrit...

merci , mais étant donné que je l'ai pas beaucoup modifié depuis que tu l'as lu, c'est normal...

Océane a écrit:

Et tant que j'y suis, les derniers chapitre que tu m'as passé sont tout aussi géniaux !!!

merci beaucoup

Moui moui moui... Bien bien...

C'est pour dire quoi ton post ?

Bon, y'aura quand même rapidement une suite à S.J... Je l'ai copié sur cet ordi ^^'

Océane a écrit:

Bon, y'aura quand même rapidement une suite à S.J... Je l'ai copié sur cet ordi ^^'

tant mieux, j'ai hâte de l'avoir sous les yeux...

Ben voilà...

Chapitre 2

Ce 29 octobre, c'était le jour du rendez-vous de ma soeur. Je me souvient très bien de toute cette partie là de ma vie... Et de tout ce qui suivit cette journée là.

J'étais donc allée au rendez-vous de ma soeur, un peu anxieuse et excitée. Elle était là, dans la rue adossée au mur. Elle n'avait pas changé et elle me ressemblait tout autant. Elle me sourit alors et ce fut, pendant tout le temps où nous avons monté les escaliers, comme une vieille habitude qui revient soudain, sans qu'on sache pourquoi elle a vraiment disparue...
Et nous sommes rentrée dans son petit appartement, celui que j'occupe aujourd'hui, sans avoir rien changé à la décoration. Si vous voulez une description, vous n'avez qu'à passer faire un tour chez moi...
Là, nous nous sommes assises sur le vieux canapé et elle a commencé à me parler.
«- Cela si longtemps,que je ne sais pas vraiment par où commencer, avait-elle déclaré, bon... Quand mon père m'a emmené hors de la ville, j'ai commencé par chercher un job dans Pammajy et j'en ai trouvé un, avec mon premier appartement... J'y suis restée longtemps comme c'était un boulot bien payé et qui me convenait parfaitement... Enfin, j'y suis restée pendant deux ans, et alors, un habitué m'a contacté...
«Il semblait savoir beaucoup de moi, beaucoup de nous... Il m'a dit, quand je l'ai interrogé, qu'il connaissait ma mère et qu'elle lui avait parlé de nous... Il m'a ensuite dit qu'il faisait partie de l'O.M.S.
-L'eau aime esse ?
-Ce sont des initiales... L' Organisation Magique Secrète .
-Ma... Magique ?
-Oui... Je ne sais pas comment cela se fait, mais le fait est que le gouvernement à caché à tous et à toutes que nous pouvons utiliser la magie ici. L'O.M.S est une organisation qui tente de réhabiliter la magie à Senreive en formant de nouveaux mages et elle nous a suivis depuis notre enfance grâce à maman... Enfin, là n'est pas le problème. J'ai quitté mon appartement et mon boulot pour venir chez eux...
-Tu as revu maman ???
-Non. Personne ne m'en plus parlé quand je suis arrivée... Alors, j'ai commencé ma formation là-bas et il paraît que j'étais très douée. Un jour, le directeur m'a convoqué avec deux autres élèves pour nous parler... Il m'a apprit que nous étions trois des quatre porteurs des forces élémentaire et que si nous voulions que tout le monde accepte la réalité la magie nous devions allumer les bougies élémentaires. Ces bougies sont des sceaux qui retiennent l'énergie magique qui maintient le monde dans une passivité forcée. Mais pour cela, il faudrait d'abord trouver la quatrième porteuse... Alors, on m'a dis que ma mère avait obtenu deux des quatre forces. Alors j'ai tout de suite pensé à toi...
-Ah ?
-Tu as toujours ton médaillon vert ?
-Oui, bien sûr... Tiens, voilà.»
Ma sœur prit ma petite médaille que j'avais depuis ma naissance et la tenue dans main. Alors, le pendentif s'illumine d'une chaude lumière verte aux reflets violets et je me suis étonnée de la voir si puissante dans cette si petite pièce.

Alors j'ai décidé de suivre ma sœur à l'O.M.S... Et c'est ainsi que tout à commencé...

C'est toujours aussi prenant!
viiiiiiiiiite la suiiiiiiite!

La notion d'élu est trop répandue. A croire qu'aucun etre "normal" n'a de role à jouer...

chacun écrit comme il veut...

j'ai po encore lu (po trop le temps, promis je le fais ce week)

dans "le seigneur des anneaux", frodon, perso principal, est un hobbit normal...

Je parle des écrits récents, qui se rapportent plus à des notions moyenageuses qu'autre chose. Le SdA est parallèle à cette notion.

Tu sais ce que tu dis au moins ?

C'est ce que VOUS en avez dit.

Pour la notion d'élu, il vaut mieux que tu attendes la suite...

C'est bizarre mais tes essais me laissent toujours cette drole d'impression...

Quelle drôle d'impression ?

Difficile à expliquer. Un "déja vu" pour résumer.

C'est qu'elle puise son imagination de certains romans... (a propos ce genre d'histoire ça s'appelle pas "essai")

*entre*

.............. Ca se discute. Et pour l'impression de déja vu justement ça vient pas de bouquins seulement.